En France, la protection de l’enfance est l’unique alternative pour garantir la prise en compte des besoins fondamentaux de l’enfant. Cette innovation est un gage de soutien à l’enfant pour favoriser son développement physique, moral et intellectuel. La protection de l’enfance préserve non seulement la santé de l’enfant, mais aussi sa sécurité et son éducation. Toutefois, la loi française du 14 mars 2016 met en place un ensemble de dispositifs qui visent à mieux protéger les enfants. Nous vous proposons dans cet article, les différents dispositifs de la protection de l’enfance.
Les dispositifs pour assurer une meilleure protection de l’enfance en France
La protection de l’enfance est aujourd’hui une véritable solution pour assurer un meilleur avenir pour les enfants. Elle permet d’assurer la relève de demain et garantit de réelles opportunités pour une bonne ouverture d’esprit à l’enfant. Il faut préciser que la loi du 14 mars 2016 a fait objet de bilan de la précédente loi du 5 mars 2007. Ainsi, elle s’articule notamment autour de deux axes.
Premier axe : mieux prendre en compte les besoins de l’enfant
Ce premier axe garantit la stabilité dans les parcours de l’enfant et du jeune adulte. Cela s’explique par la construction d’un projet d’accès à l’autonomie avec le jeune dès l’âge de 17 ans. Il bénéficie à ses 18 ans également d’un versement d’allocation de rentrée scolaire sur un compte à la Caisse des Dépôts et consignations. Cet axe prend en compte l’amélioration du repérage et du suivi des enfants en situation de danger. Toutefois, il existe des structures privées comme ACTION ENFANCE qui accompagnent l’État dans la protection enfance.
Deuxième axe : améliorer la gouvernance nationale et locale de protection de l’enfance
Ce deuxième axe permet de renforcer la protection de l’enfance à travers les institutions publiques décentralisées en les dotant des moyens nécessaires pour s’émanciper.
La mise en œuvre de ce deuxième axe se traduit par la création d’un conseil national de la protection de l’enfance (CNPE) et le renforcement des missions de l’observatoire national de protection de l’enfance (ONPE) ainsi que des observatoires départementaux.